Sue Eugène – L’Avarice (Les sept Péchés capitaux) : Dans ce roman, Eugène Sue fait presque une vertu de l’avarice. Monsieur Richard (!) est un avare. Il élève son fils Louis en l’habituant à une vie simple. Louis est amoureux de Mariette, une jeune ouvrière qui vit seule avec sa tante infirme. À la mort accidentelle de Monsieur Richard, Louis hérite d’une fortune considérable. Il décide de s’en servir pour faire le bien autour de lui.
Une fois de plus Eugène Sue nous démontre que, comme chacun de ses Sept péchés capitaux, l’avarice peut se révéler, conformément à la théorie des passions de Charles Fourier, finalement bénéfique pour la société.
C’est cette série des sept Péchés capitaux commencée en 1847 avec L’Orgueil, épisode qui se termina juste avant la révolution de février 1848 et achevée avec La Gourmandise en 1852, romans populaires trop oubliés, que nous vous invitons à les redécouvrir en continuant avec L’Avarice.
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Vos publications sont très belles et d’une remarquable qualité, mais Je trouve un peu dommage d’être obligés d’attendre tant de temps pour compléter le chargement d’une série comme Les 7 péchés capitaux d’Eugène Sue, comme c’est le cas d’autres livres pourtant passionnants, les contes des 1000 et une nuits traduits par M. Mardrus ou d’autres comme ce fut le cas pour les Mémoires d’outre tombe de M. de Chateaubriant. Quoi qu’il en soit, merci pour vos publications !
Eh bien, il faut le temps de les fabriquer. Nous sommes une petite équipe…
Nous pourrions, comme d’autres, vous proposer une série de titres deux à trois fois par année au lieu de 2 titres par semaine, mais est-ce que vous attendriez moins ?